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La créature du 21 ème sièxe

14 mars 2018

Et cette WR alors?

 

Vous êtes nombreuses et nombreux je le sais à vous dire: mais ou en est-il avec cette fameuse WR depuis le temps? J'avoue que nos activités débordantes ces 3 dernières semaines (réceptions, expo photo, voyages, etc..) n'ont pas été propices aux travaux manuels.. C'est maintenant terminé, les affaires reprennent et les travaux aussi! La dernière photo postée dans la galerie "White Room work in progress" est la pour en attester. Je vous offre même l'opportunité de voir mon diagramme de Gantt et de suivre les travaux pour voir si je colle au planning. Planning_01

 

Il n'est pas prévu de punition en cas de retard, je le précise à toutes fins utiles…

 

 

Je retourne donc à la mine avant de me consacrer enfin à ce qui me préoccupe vraiment l'avenir de la femme au cours de se siexe plein de promesses.

 

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14 mars 2018

La créature... Par l'assistante cobaye du Docteur.

Mes écrits ont pris vie ce mercredi soir là...

Je la vis passer devant moi une première fois comme un ange qui passe tant j'étais absorbée par la conversation avec AE.Vous savez l'impression de voir une ombre passer. Mais une ombre que l'on connait...pour l'avoir déjà croisée dans un fantasme...Et puis la créature est venue à mes pieds...comme dans un de mes rêves fous

Voila ce que j'avais écrit il y a quelques mois...après avoir passé un après midi aux gouters du divin Marquis, où mes pensées s'étaient laissé aller dans mon excitation du moment...

J’étais assise dans le premier fauteuil, celui là même qui introduit les gens qui descendent…dès qu’il y avait le flash annoncant un client, j’attendais qu’il ou elle descende.

Et puis.

Et puis j’ai imaginé une créature noire, grande. Elle aurait été entièrement vêtue en latex, noir…Peut etre une autre couleur…plus je vois le mauve ou violet ( mon souci des couleurs ), Vous savez la couleur à la chérie qu’elle avait à la soirée au château, plus j’aime cette couleur de latex. J’ai de toute manière, toujours aimé cette couleur, mi cardinale, mi revêtement intérieur de cercueil…Sourire…

Longiligne, pas un centimetre de peau ne dépassant, permettant de voir s’il s’agissait d’une femme aux ongles vernis ou un homme aux jambes de yeti. Seule une stature un peu musclée, voire quelque peu trapue trahissait le corps d’un homme.

Une combinaison en latex noir…totale. Ou la seule ouverture sur le monde serait ses yeux voilés derrière une paire de lunettes de soleil. Un serre taille affinant le buste et la taille violet et rose, un tres beau collier qui ressemblait étrangement à une pieuvre aux dizaines de pattes dans tous les sens.. Collier fétish, la créature ne portait aucun signe de domination, ni même de soumission… Des gants violets eux aussi, par-dessus la combinaison, cachaient les mains et les avants bras.
Créature venue de nulle part. Inconnue en ces lieux.  Rehaussée d’une vingtaine de centimètres par des bottes à semelle compensée. Elle en était obligée de se baisser sous le lustre…

Illusion ? Réalité ? Elle vaquait dans ce lieu, à ses aises, comme si le latex était une seconde peau.
J’avais senti le parfum de la matière lorsqu’elle passa… Cette odeur qui vous prend le nez et ne vous lache pas…Si bien, que même une fois à l’extérieur, elle emplit encore vos narines.

La créature prend garde à ne pas tomber en se dirigeant vers le bar. En revenant, j’observe ses yeux de mouche qui balaient la salle…puis elle se dirige vers moi....Et se place à mes pieds. Une créature rejoint une doll, latexée elle aussi.

J’aurai été vêtue de cette jupe que Vous m’avez offerte en latex noire avec des zébrures bleues et rouge, des bas résilles, le corset vynil, mon collier d’acier a picots, là aussi plus fétish que symbolisant quelque position choisie… Mes cuissardes ornant mes jambes

La créature s’asseoit, nous nous sourions…pas de dialogue.. Vous me caressez les jambes, je caresse sa carcasse de caoutchouc…J’aime…
J’aime ses mains sur moi, j’aime mes mains sur elle…

La aussi la jeune femme et la créature sont en parfaite osmose…
Les yeux de la salle sont tournés vers nous.
Les gens se demandent qui est cette chose.

Elle remonte le long de mes cuisses…

Les gens sont étonnes, ils savent qu’en temps normal, personne ne me touche au delà du genou.
Philippe arrive… « Est-ce que ca va ? » Il est lui aussi étonné, moi qui n’aime pas qu’on me touche… «  oui oui » je lui réponds avec un énorme sourire et des frissons plein la peau…

La créature joue avec mes anneaux…Je plonge mes yeux dans les lunettes, je ne les vois pas, mais je sais qu’elle sourit…Je sais qu’elle est bien…

Elle retrousse ma jupe… Silence dans la salle…Et regarde le spectacle de mes anneaux… Ses anneaux. Un doigt passe sur ma fente, puis deux, puis la main.
Totalité de la main qui me protège de cette carapace latexée. Contact étrange. Un peu collant et paradoxalement si doux. Frémissement….

Les gens sont estomaqués.
Je dois avoir peté les plombs…

La créature ouvre une fermeture éclair au niveau de la langue…et sort son appendice…Je la dévore. Nos deux langues dansent…Je commence à dégouliner…Envie…Envie de sa langue qui parcourt tout mon corps…Sentir le chaud, le froid…selon les mouvements, ou l’épaisseur de la matière…

Volupté… Douce chaleur en mon bas ventre.

Nos mains s’enlacent. Elle et moi, Dans une bulle. Notre bulle. Danse du ventre. Danse des sens… danse de nos langues…
Je fais glisser ma langue sur son visage tout entier, poursuivant le chemin de ses sourcils, redescendant le long du menton, remontant jusqu’à la naissance des oreilles…
Elle me prend la main..Je me lève. M’attire doucement vers elle. J’aime son étreinte…c’est froid, délicat, doux à la fois. Complexité de matières différentes qui se contactent.

Elle prend ma place dans le fauteil…Nos langues encore…Puis je descends le long de son cou, doucement, la langue qui pointe… Je happe son torse qui commence à lui par endroit, là même ou j’ai léché. Sans retenue. Elle est créature, je deviens chose. Chose de son plaisir.

Comme à chaque fois.

Les bras aussi, les doigts un à un. Je m’en délecte. Ma langue parfois s’asseche et je suis obligée de déglutir. Les autres n’existent plus depuis un moment. Il n y a pas de bruit dans la bulle dans laquelle nous sommes elle et moi. Simplement elle et moi. Créture et chose. Deux machins un peu bizarres…mais qui se sont trouvées la…aussi.

LE ventre à présent. Je cherche le nombril, censé etre centre du montre, mais ne le trouve pas…Le serre taille le cache, le protège, le voile. Il fait office de mur de berlin entre ma bouche et le trou. En meme temps que je leche, mes mains caressent les cuisses, les genoux, parfois l’entre jambes. Le sexe est gonflé en dessous…Il n’en apparaît que plus épais, plus imposant enveloppé dans tout cet attirail… Je défais l’autre glissiere…mais de ma langue en défense, je n’autorise pas la verge à sortir…je lèche de ma langue, masse de mes lèvres le sexe…Je le retrouve tel que je le connais. Je dégouline…

Quelqu’un s’approche…Non il  n y aura pas de capote…

La créature la libere de l’étreinte en latex… Alors je m’agenouille…sur les talons. Cette position est inconfortable pour moi et je ne peux la garder longtemps. Mais assez pour observer le spectacle qui se livre à moi…

Je souris. Elle aussi.

Je recommence…

De Votre langue…que je saisis, happe, dévore, mordille, aspire, à Votre menton…en passant par la vague de Vos sourcils…je glisse le long du cou vers Vos tetons introuvable, noyés, slalome entre les accros du serre taille, et arrive à Votre sexe…gonflé, turgescent. Beau… Orné de ce piercing que j’aime tant. Je le prends entre mes dents, tire un peu…Votre main est dans ma nuque…elle me caline.

Puis je l’engouffre au fonds de ma gorge, là même ou j’ai parfois des rejets…Loin, tres loin…Vous aimez tant ca. Envie que Vous me transperciez.

Va et vient, va et vient. Baisers.
Langue à langue. Langue à sexe. Sexe qui brille au milieu de tout ce noir et violet…Je Vous garde dans ma bouche sans bouger, je savoure Votre morsure dans mon cou. Douleur…Mais ca m’électrise toute entière…

Parcours le long de la fermeture éclair qui a libéré Votre sexe…Doux bruissements du métal que l’on frotte étrangement… et je repars vers Votre sexe…encore et encore…jusqu’ à ce qu’il tire la révérence…

Suc blanc dans mes bajoues, j’avale doucement avec délectation.

Je range, je referme… « tssssssk »…et je recommence…

De Votre langue, que je saisis, happe, dévore, mordille, aspire…à Votre menton…en passant par la vague de Vos sourcils…

Douceurs entre une Créature et SA Chose…

Les mots me manquent...le silence s'est fait dans mes larmes

Merci...tout simplement...d'avoir été CELLE CI...

Je Vous aime.

14 mars 2018

Le Doc passe derrière l'objectif

flyer_1_smallCa y est c'est parti... Ma première exposition photo fétish et pas n'importe ou, chez Cris et Chuchotements s'il vous plait!

Une exposition le 8 juin qui sera suivie le 22 juin d'une séance de prise de vues pour les clients de cet endroit unique dans Paris.

Une deuxième expo est déja programmée pour juillet. Si vous vous sentez l'âme d'un modèle, surtout n'hésitez pas ;-)

Rendez-vous donc pour votre prochaine consultation Chez C&C le 8 juin....

14 mars 2018

Grande consultation publique

Chers lecteurs, sur le point d'achever la restauration de mon fauteuil roulant un dileme se pose à moi: quelle décoration pour les flancs dudit fauteuil.

fauteuil

1) Flancs dans l'état ou ils se trouvent actuellement c'est à dire blancs;

2) Une petite croix rouge;

3) Une grosse croix rouge;

4) Une petite croix rouge et ajouter la mention "Doctor AR fetish clinic"

Je compte sur votre feed back par la voie des commentaires pour m'aider dans ce choix qui, reconnaissez le, est difficile ;-)

14 mars 2018

Wheel chair last but not least!

"Vox populi vox dei" m'a rappelé un fidèle lecteur au sujet de mon sondage.. Merci à tous ceux qui se sont exprimés ici ou ailleurs.. Le résultat est donc celui-ci:

Fauteuil_roulant

J'embauche donc dès aujourd'hui une bonne soeur pour pousser le fauteuil et j'attend avec impatience les prochaines patientes...

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14 mars 2018

Anniversaire

Il y a quelques jours de cela ce fut l'anniversaire du Doc...

Une grande fête pleine de surprises et de cadeaux http://lacochonneaie.canalblog.com/archives/2007/08/29/6039584.html virtuels et moins virtuels comme du matériel pour équiper la future white room qui avance maintenant à grands pas! Entre autres choses armoire pour ranger les instruments de torture, poubelle pour jeter les restes d'expériences avortées et... et .... LA PLAQUE que voiciPlaque

Merci encore à toutes et tous et à mon assistante préférée qui a organisé tout ca..

14 mars 2018

Les premiers tests

Avant de mettre en œuvre son projet, le docteur se devait de valider un certain nombre de concepts qui étaient nés de son imagination fertile et des connaissances qu' il avait acquises depuis tant d'années. Il avait établi un certain nombre de protocoles et durant cette première phase d'études il serait amené à tester sur plusieurs cobayes ses différents moyens de commande et de contrôle afin d'établir des courbes statistiques (bien évidement les tests seront poussées plus en avant sur le futur robot). Chaque expérience sera méticuleusement photographiée et des fiches de relevés standards seront renseignées. L'ensemble de ces dossiers sera mis en ligne afin que toutes et tous puissent profiter des avancées de cette recherche appliquée. La première phase expérimentale concernera le système embarqué d'électrostimulation.

Electro_ancienneL'électrostimulation est une technique ancienne qui date de plus de 100 ans (voir photos historiques). Dès que l'homme, ayant mis au point des générateurs électriques, c'est électrocuté par hasard, il n'a eu de cesse, sous prétexte de thérapie, d'appliquer ce châtiment à ses proches…. Au début, il ne s'agissait que d'un générateur à aimant permanent entraîné par une manivelle. Deux électrodes de cuivre étaient appliquées sur le "patient" au travers de tampons imprégnés d'eau salée. Le choc électrique était alors envoyé sans autre forme de procès ni contrôle. Les technologies évoluant les derniers générateurs permettent de faire varier avec une précision remarquable l'intensité du courant qui traverse les tissus, la fréquence du Electro_ancienne_2signal de modulation et la durée des impulsions. Le tout étant contrôlé par un microprocesseur la duplicabilité des phénomènes est parfaite.

Un panel d'interfaces d'une grande variété permet d'appliquer le courant dans des parties du corps insoupçonnées comme l'urètre, le fond du vagin ou l'anus. Des patchs de toutes tailles et même des gants conducteurs permettent un accès aux parties plus exposées de l'anatomie. Les différents réglages peuvent provoquer des résultats qui vont du discret fourmillement aux vertus relaxantes à la douleur intense laissant penser que les organes sont arrachés du corps en passant par toute une panoplie de sensations plus ou moins orgasmiques. Il est également possible de provoquer la contraction des muscles et ainsi de contrôler les mouvements du sujet.

Pour chaque sujet, une feuille distincte de relevé sera utilisée faisant apparaître les noms du cobaye et du praticien ainsi que la date du test. Le cobaye sera maintenu en place sur la table chirurgicale par des sangles de cuir au niveau du torse, de l'abdomen, des bras et des jambes qui seront placées dans des appuie-jambes. Seront ensuite posés les patchs sur les seins puis introduites les sondes anales et vaginales l'ensemble étant connecté à deux générateurs à deux canaux. Les tests peuvent commencer….

Test_electro_stim      

Docteur AR

14 mars 2018

LA WHITE ROOM EST TERMINEE !!! (OU PRESQUE) Cinq

LA WHITE ROOM EST TERMINEE !!!

(OU PRESQUE)

avant___apr_s

Cinq mois et demi séparent ces deux photos!

14 mars 2018

La dernière séance

Le rendez-vous avait été convenu de longue date et la patiente prévenue depuis le premier jour de sa visite avait eu toute latitude pour anticiper, imaginer, visualiser, et fantasmer sur ce qui allait se passer pendant cette séance. Présentée par son compagnon avec qui nous nous étions longuement entretenu par mail sur les raisons de sa démarche et puis avec qui nous avions établi le scénario en fonction des critères de temps, d'expérience et d'objectifs, puisque cette dernière ne connaissait que l'objet de cette visite. Lui avait souhaité la maintenir dans l'expectative et pensait qu'il était préférable que ses yeux soient bandés pendant toute la séance afin de ne pas prendre peur devant la couleur de ses seins déformés par la séance de "pumping" ou par le nombre de baguettes qui seraient introduites au moment de passer à la dilatation vaginale.

Le jour dit à l'heure dite ce jeune couple très BCBG se présente à la porte. Ils entrent je les salue. Ma future patiente, vêtue très classique et portant de beaux bijoux de famille reste silencieuse et suit le mouvement que j'imprime au petit groupe que j'entraîne vers le salon ou je l'invite à prendre place. Prétextant une visite des lieux pour Monsieur, je la laisse délibérément seule face à la table basse ou traînent avec une négligence calculée le "quotidien du médecin" de la veille ainsi que quelques anciens numéros de "secret magasine" et de "heavy rubber". Nul doute qu'afin de meubler cet instant de solitude elle aura parcouru l'une ou l'autre de ces publications et que cela aura fait monter le stress d'un cran supplémentaire. J'ai profité de ce préambule afin de faire visiter notre toute récente White Room à son accompagnateur qui du coup est très confiant et me transmet quelques dernières consignes destinées à me faire mieux comprendre la situation.

Nous remontons (la WR est située dans le rez-de-chaussée de la maison ce qui est bien utile pour étouffer les cris de certaines patientes particulièrement douées en vocalises) et je m'installe confortablement dans mon trône afin de commencer le questionnement de la patiente, préalable nécessaire à toute auscultation. Muni de la fiche  établie à son nom, je l'informe que son compagnon m'a déjà mis au courant de leur démarche commune "Votre Maître m'a dit que depuis quelques années maintenant, vous tentiez de reprendre possession de votre corps de femme dans le but de prendre plus de plaisir à des activités que vous ignoriez auparavant. Pouvez-vous me dire ce que vous avez fait en particulier pour atteindre ce but?". Le visage impassible la jeune femme me raconte ses tentatives dans les milieux échangistes, suivies des séances d'exhibitions puis du travail physique réalisé par son Maître ou d'autres intervenants sur ses seins, son vagin et son clitoris. Elle ne mentionnera pas son anus comme s'il n'existait pas……. A la question "vous masturbez-vous souvent le clitoris avec un vibromasseur?", elle me répond "non, je n'y pense pas et je n'ai pas le temps". Etonnante réponse n'est-ce pas?

Commence alors l'auscultation générale proprement dite, trônant toujours, je l'invite à se lever et se mettre face à nous puis à se déshabiller. Elle s'exécute sans sourciller malgré un "j'enlève aussi le bas?" au milieu de la procédure auquel je rétorque "il me semble assez improbable de pouvoir pratiquer l'examen auquel vous allez être soumise si vous conservez votre jupe et votre culotte. Ne gardez que vos bas et vos escarpins!". Je me lève et la contourne. Une fois dans son dos, je me saisis d'une paire de gants d'examen en latex et les enfile doucement, elle m'observe dans le grand miroir 19ème qui lui fait face. L'examen commence par la bouche qu'elle ouvre spontanément, j'y glisse un puis deux doigts afin de palper la langue et de masser légèrement les gencives. Pourquoi les gencives pensez vous? Et bien tout simplement parce qu'une amie/patiente m'a fait découvrir récemment que certaines femmes pouvaient prendre beaucoup de plaisir à se faire masser la gencive supérieure. Je poursuis par une palpation de seins qui sont bien proportionnés et souples, les tétons sont érectiles et déjà proéminents. Je lui demande de se pencher en avant, jambes écartées elle doit poser ses mains sur ses genoux et garder la pose pendant le reste de l'examen initial. Le sexe est déjà bien ouvert et lubrifié preuve que malgré la gène et le stress persiste une certaine excitation à moins que ce ne soit précisément ce stress et cette gène qui génèrent l'excitation. Je ne manque pas bien évidemment de lui faire remarquer en même temps que je me saisis d'un thermomètre que je désinfecte avant de lui plonger dans l'anus. Une fois retiré, je lui présente afin que, toujours penchée en avant, elle puisse en faire lecture: tout est normal. Je décide donc de passer à l'étape suivante. Nous la conduisons dans le plus simple appareil jusqu'au rez-de-chaussée ou je lui demande de s'immobiliser devant la porte de la white room. Juste le temps pour elle de lire la plaque sur la porte qui indique "Docteur AR, Fetish Medical Plays, tel 06 14 33 xx xx sur rendez-vous" avant que nous lui mettions une beau bandeau de dentelle noire.

Elle pénètre dans la pièce que j'ai pris soin de surchauffer compte tenu de sa frilosité. Il n'est pas judicieux en effet d'ajouter un inconfort à l'examen du bas, d'autant que cela risquerait de distraire la patiente du but même de l'examen qui s'intitule "test de réponse aux  stimuli sexuels". Avant qu'elle ne monte sur la table d'opération équipée pour l'occasion de deux repose-bras et deux repose-jambes, je lui précise que l'examen va être long et qu'il ne sera plus possible pour elle d'uriner sauf par sondage une fois installée. Si elle souhaite uriner elle doit le faire maintenant, devant nous et dans un bol en acier inoxydable de 20cm de diamètre…Elle hésite, tente de se convaincre que cela ne sera pas nécessaire mais l'idée d'un sondage urinaire la fait fléchir et elle nous gratifie d'un beau jet qui résonne au contact de l'inox brillant. Le volume expulsé me fait dire qu'elle a bien fait de choisir cette option!!! Nous la guidons vers la table et l'aidons à prendre place. Les bras bien calés dans les gouttières, je mets en place les 4 sangles qui l'empêcheront de se débattre et de se protéger à l'aide de ses mains. J'ajuste les repose-jambes afin que ses cuisses forment un angle droit avec l'axe de son corps et qu'elles soient suffisamment écartées pour que je puisse avoir un accès facile aux endroits stratégiques. Deux sangles maintiennent ses jambes dans les gouttières rembourrées. Etant donné le type d'examen qui ne doit pas être particulièrement douloureux je ne poserai pas aujourd'hui les deux grosses sangles qui peuvent prendre place sur le thorax et l'abdomen….

La première partie de l'examen peut commencer. Je prélève dans l'armoire vitrée toute proche un spéculum de Collin, le nettoie une dernière fois et l'enduit de lubrifiant. "attention vous allez sentir quelque chose de froid" et joignant le geste à la parole, je commence à masser les petites lèvres avec une noix de gel. Un, puis deux doigts sont facilement introduits afin de préparer le passage des lames du spéculum. Alors que les lames brillantes glissent au fond de la cavité vaginale, je commence par tourner la molette permettant d'ouvrir l'entrée du vagin avant d'utiliser la deuxième qui écarte les lames dans le fond. Les muqueuses sont lisses et brillantes, d'un beau rose mais pas trop vascularisées. Le col de l'utérus est un peu dissimulé au fond d'un repli et n'est pas très proéminent. L'avantage du spéculum de Collin par rapport à celui de Cusco c'est qu'il laisse l'urètre dégagé si l'on veut s'amuser un peu avec ;-) Dans le cas présent je n'y toucherai pas même si le méat urinaire me semble particulièrement dilaté et donc attrayant… Le clitoris est petit mais du fait d'un capuchon très court il est particulièrement exposé! Je plonge deux doigts pour masser un peu les muqueuses apparentes puis décide de retirer le spéculum afin de passer à la phase de dilatation.

A suivre

14 mars 2018

Quand l'assistante devient patiente

Mon assistante devient parfois aussi ma patiente....

Je lui ai donc demandé pour vous chers lecteurs de vous faire part de ses sensations à chaud..

 

Un soir de septembre 2006

 

 

Autour de moi tout est blanc, et la première réflexion que je me fais alors est que je suis morte Que je suis peut être au paradis puisque tout est blanc.

« C’est triste le paradis, y a meme pas de couleurs »

Autour de moi, je vois des formes floues qui s’agitent.

 

 

Une nuit d’octobre 2007, juste avant le jour dédié aux morts.

 

 

Je m’affaire dans la cuisine et le séjour. Le choix s’est porté vers le serre taille en latex violet que nous aimons tous deux, des bas résilles et ces plateformes aux talons vertigineux tant ils me donnent l’impression de devenir, l’espace d’un instant un géant fétish.

Le miroir de la salle de bain me renvoie un sourire. Je suis bien.

Quelques minutes auparavant j’étais encore avec vous dans le lit, au chaud, sous la couette pour un «  deux minutes ».

Je me maquille légèrement. Dans des tons violets brillants et gris pour les paupières, un coup de crayon noir pour faire ressortir mes yeux, et un rouge à lèvres prune.

 

 

Vous arrivez dans le séjour et me demandez de me tenir quelque part afin que vous puissiez me lacer, m’affiner convenablement la taille. Secousses légères. J’apprivoise l’enveloppe de latex qui se resserre, encore et encore.

 

 

Je descends les escaliers comme on descend aux enfers…Pire que sur la pointe des pieds.

Je suis anxieuse. Excitée aussi. Certes je la connais cette pièce blanche pour en avoir suivi des mois durant les différentes étapes ou pour y avoir accueilli lors de l’inauguration N, une patiente avec qui beaucoup d’émotions se sont échangées ce soir là.

 

 

Pour une fois, je m’installe sur la table d’opération. Je n’ai aucun mal à m y hisser tellement je suis haut perchée. Vous me sanglez les jambes dans les repose pieds, les mains dans les accoudoirs. Une ceinture de cuir me prend en plus du corset, la taille.

Ne plus pouvoir partir le cas échéant.

Ne sait on jamais, des fois que. . . j’aie l’envie de tenter un marathon sur mes perches !

 

 

D’assistante personnelle, je deviens patiente. La séance peut commencer.

 

 

Là aussi tout est blanc… Pied de nez à la vie…Ici par choix, par envie…

Pour une petite mort…peut être.

 

 

La lumière est très vive. J’ai du mal à garder les yeux ouverts tant elle est brûlante de blancheur. Dans un coin de la pièce, un radiateur veille au confort de la température.

La pièce résonne. Ambiance étrange. Dans les canalisations …des cliquetis…

Vous avez revêtu la blouse bleue. Seule couleur ici…

Non c’est vrai, il en est une, cette cagoule noire en latex qui trône sur le dessus de l’armoire contenant moultes pinces, seringues, engins diaboliques…

 

 

Pas de musique pour moi. Le silence… enivrant.

 

 

J’aime l’image de vous, mettant vos gants en latex, tirant pour les ajuster. Le bruit. L’odeur. Oui décidément, j’aime beaucoup.

 

 

Vous m’écartez les grandes lèvres en usant d’aiguilles que vous intégrez à la dentelle de mon bas. Des crochets font jonction. Ma chatte alors cachée sous les replis de chairs est exposée en un triangle harmonieux des plus explicite. Je suis allongée…et je me regarde.

Etrange sensation que de se dire «  je peux me voir par le bas »

Au dessus de la table d’opération, vous avez installé un miroir qui bien réglé, permet de voir tous les délices mais aussi tous les sévices fait au corps…

Je ne la trouve pas spécialement belle. Disons plus exactement que ce n’est pas une partie de moi qui me fascine…Ce que j’en vois est fait de plis, d’arrondis et semble visqueux.

 

 

Vous m’écartez encore plus la chatte en y introduisant un spéculum…Le froid m’étreint de l’intérieur, mais finit par se mettre à température ambiante… Vous tournez un écrou…et mon regard peut presque se plonger dans mes entrailles.

Je confirme, je n’aime pas.

 

 

«  c’est normal que ce soit si rose ? »

« oui oui »

 

 

Je me détends. Ma boule au ventre part un peu.

Pas longtemps.

Je vous voir sortir un emballage que je connais bien. Que je déteste d’ailleurs

Mais avoir accepté d’être attachée là-dessus, c’est aussi donner le pouvoir à l’Autre.

Lui permettre de faire ce qu’il a envie

Pr_pa

 

« Autant que je te fasse quelque chose que je n’ai pas l’habitude de faire »

J’ai envie de râler. Je me rappelle de cette fois là, à l’hotel… J’avais froid, vous n’y pouviez rien, mais j’étais morte de froid et je n’ai pas pu , su accepter…J’avais fait une crise.

J’essaie de me détendre…

Vous lubrifiez, préparez vos seringues.
Doucement.
Je suis spectatrice de mon futur ;
Et le pire, c’est que je réussis même à sourire.

 

 

Un cathéter de FOLEY. Serpent insidieux qui doucement se glisse non sans douleur dans mon urètre. De patiente, je me sens d’un coup «  chose à pisser », ou pire «  robinet ».

Ni plus, ni moins.

Très vite l’envie d’uriner se faire sentir.

Ce n’est pas un besoin m’expliquez vous pour la xième fois. . .et je le sais.
C’est une réaction réflexe.

Soit.gonflage

Mais j’ai envie quand même.

Alors vous cherchez ce qu’il m’est déjà arrivé moi-même de tendre à quelque soumise ayant envie d’uriner avant la séance médicale : le récipient en inox.

Vous déclipsez la pince qui empêchait l’urine de couler et libérez le passage.

Un liquide jaunâtre coule. J’aimerai me retenir. Mais je n’y parviens pas.

Je le remplis à moitié.

Enfin quelque chose comme ca.

 

 

Je me sens soulagée, mais l’irritation est toujours là, moins que l’autre fois il est vrai.

Vous vous affairez autour de moi comme un architecte autour de son œuvre.

Finalement, c’est un peu similaire. Vous montez, démontez. Vérifiez,  veillez à la sécurité, à l’hygiène irréprochable.

 

 

«  On fait un peu de baguettes ? ou on passe directement à la fucking machine ? »

 

 

C’est vrai, vous l’aviez réparée, non sans avoir peiné pour trouvé la pièce. Ah cette patiente !!! Je me dis qu’elle a du en abuser un peu de notre fucking machine, mais comme il n y a pas de mal à se faire du bien…sourire…

 

 

«  Un peu de baguettes »

 

 

Je me dis intérieurement «  ouf, il va me retirer la sonde »

Il n en est rien…je comprends très vite qu’elle restera en place.

Mon ventre se noue. C’est tellement désagréable. La moindre vibration crée une gêne assez déconcertante. C’est une douleur sourde et bien fourbe qui s’insinue dans la chair, minute après minute. Vous donnant l’impression de devoir courir aux toilettes alors que vous êtes attachée…

 

 

Je suis tendue. Vous me le faites remarquer sur un ton que je n’aime pas. Que vous n’emploieriez pas pour vos autres patientes… Un ton qui me met encore plus la boule au ventre.

Essayer de m’en détacher, me détendre. . . pour ne pas tout faire tomber à l’eau…

Seule.

 

 

Et les baguettes rentrent, les unes après les autres. Certaines devront êtres ressorties légèrement pour être réenfoncées d’autant plus. Vous jouer au mikado inversé d’un geste que je vous connais bien : fluide. Je me relâche doucement. Trop peut être si j’en juge à l’urine qui sort de partout alors que je suis fourrée de bois. . .

Vous essuyez une première fois. Quelques minutes plus tard une seconde fois.

 

 

50. C’est tout ce que nous aurons réussi à rentrer cette fois là.  L’équivalent en somme d’une grosse bite. Je ne fais pas ma fière. Vous cherchez l’engin magique…cette boule vibrante que vous placez que les baguettes.
Je suis étonnée. Presque toutes les patientes en jouissent…mais j’avoue, là, à cet instant précis, je ne saisis pas pourquoi. Ca ne me fait rien… C’est même tout le contraire de jouissif. J’attends que ca se passe.
Et puis arrive une secousse que je n’ai pas sentie venir. Fulgurante. Difficile de décrire la jouissance pour une fois.

 

 

Plus tard je vous dirai « je sais pas comment le dire, mais elle est pas bonne, c’est juste le corps qui a joui, comme dans un réflexe »

 

 

Vous démontez…une par une.Elles libèrent un peu d’espace dans mon gouffre intérieur avant d être dans une de mes expirations expulsées pour les dernières d’entres elles.

 

 

J’ai la chatte en feu.

Paradoxalement j’ai froid.

 

 

Je me parle.

Dans ma tête je me dis «  oh non, pas maintenant les piercings…ah oui la fucking machine. Pas maintenant non plus, juste envie d’être dans vos bras, me coucher au chaud…comme il y a . . »

 

 

« Les piercings on  les fera demain matin Say, tu es fatiguée »

Soulagement.

 

 

Dans la cuisine, nous faisant une tisane avant de monter se coucher, nous regardons l’heure.

Il est presque 3 heures du matin.

 

 

Dans cette pièce blanche, le temps s’écoule à un temps qui lui est proche….

 

 

Une heure ressentie est en réalité trois heures passées…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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